Lueur d'espoir pour Adadji...

La jeune femme s'était donc écroulée devant la porte du pensioonat (pour comprendre lire son histoire ^^), et quelqu'un lui avait ouvert. Elle avait été sure qu'on lui refermerait la porte au nez vu dans l'état dans lequelle elle était, bras et visage écorché, maquillage orange qui coulait sur ses joues, les cheveux avec toutes ces méches de couleurs, en bataille, seulement la robe était intacte....Mais non la porte resta ouverte, et on lui dit:

"Entrez Mademoiselle!
Ne restez pas là!"

Mais voyant bien qu'Adadji ne pouvait plus se lever, l'homme ou la femme, la jeune Nimra n'avait pas réussit à déterminer, l'aida du mieux qu'il/qu'elle pouvait et l'a fait rentrer dans le hall de la pension en fermant la porte derriére eux...Ce qu'elle vit, cloua la jeune femme sur place...

*Sayé...
Je suis arrivée...*

Pensa-t-elle...Un petit espoir comme quoi son avenir pourra être un peu mieu, même beaucoup mieu que son passé...

*Ne rêve pas trop!
Qui dit que tu resteras dans cette...pension...*

Adadji n'arrivait toujours plus à marcher, elle ne faisait que penser, elle aurait bien voulu remercier la personne de l'avoir laisser entrer et de l'aider. De raconter toute sa vie, tous ses malheurs mais ses pensées et sa fatigue l'en empêcha:

*Non mais ca va pas!
Tu te rend compte ce que tu allais faire!
Jamais raconter ta vie, elle ne regarde que toi...*

Elle baissa la tête doucement, coupable, ne cherchant plus à avancer, ne reagardant plus rien sauf le sol qui lui rappelait celui de sa maison. Mais ne pas pleurer. Adadji s'était toujours promis de ne jamais pleurer en publi mais avec son maquillage coulant de toute par ça revenait au même. Puis quand le/la Japonais/se chercha à l'aider à marcher, la jeune femme la repoussa brutalement et réussit à articuler doucement:

"Je continurais...sss...seule..."

"Mais non!
Venez avec moi je vais vous aider!"

Mais Adadji le repoussa encore...Elle ne savait pas ce qu'il lui avait prit, encore et toujours la même chose quand quelqu'un s'approchait d'elle, voulait l'aider, ou se moquer d'elle, pour elle s'était pareil. Elle ne supportait pas le regard sur elle, pas la peau d'un autre humain sur la sienne...Pour elle seulement son petit frére avait le droit de la toucher...

"Il est mort Adadji... Mets le toi ça dans le crâne!"

Lui avait hurlait son oncle un beau soir..Le soir où la jeune Nimra se sauva....Elle aurait voulu se battre, le taper, comme toute ses fois où il l'avait battue en silence dans le grenier où elle ne pouvait pas crier rien faire...Toutes les marques étaient dans son dos qui n'était jamais nu...L'oncle avait bien calculé...

*Arrête de penser à lui et avance.*

La personne qui l'avait fait entrer l'observa un moment en silence puis repartit de là où il était venu, laissant Adadji bien seule comme toujours...Pour une fois qu'on voulait l'aider, elle avait encore tout gacher et elle s'en voulait terriblement. Elle aurait voulu se retourner et s'enfuir de la pension...s'enfuir de ce pays...partir ailleur...mais elle ne savait même pas si elle avait assez d'argent pour se payer un loyer dans cette maison...

*On va me virer c'est sur...
Et je vivrais dans la rue, comme tous ces pauvres...comme tout le monde...*

Ce "comme tout le monde" résonnait longtemps dans sa tête...Comme tout le monde, elle allait vivre comme tout le monde...Quelque chose qu'elle avait toujours redouté! NON! Elle voulait être différente!

*Faut savoir ce que tu veux!
Tu veux être différente mais tu ne veux pas qu'on te regarde!*

Disait sa petite conscience. Mais ce n'était pas le moment de reculer, il fallait désormais avancer...Avancer dans un lieu inconnu, entouré de gens inconnu...Puis elle se mit à marcher, regardant ses pieds comme pour les aider à marcher et elle fonça dans quelque chose, elle se mit à crier:

"NON MAIS CA VA PAS!
FAITES ATTENTION ESPECE DE..."

Elle leva à ce moment la tête pour voir qui elle avait heurter et vit...

"de...mur..."

Elle venait de se cogner à un mur, tous les éléves la regardaient en riant de plus en plus fort...Et voila, Adadji venait encore de se faire remarquer, deux fois dans cet établissement. De toute façon c'était à prévoir...La jeune femme ne passait jamais inapercue...Et encore une fois elle était perdue dans un monde inconnu. La jeune Nimra aurait voulut demander de l'aide, son chemin, mais cela n'était pas dans ses capacités, et elle devait se débrouiller seule, comme toujours...

*Bon...que faire?
Chercher le directeur? Le gérant?*

Elle n'en avait aucune idée car personne n'était prévenu de son arrivé...Elle se voyait dans les rues de Tokio à mendier, à devoir chanter, ou même dessiner pour les autres...Toutes ses idées la répugnier:

*Jamais je ne vivrais comme cela!
Je m'échapperais, comme toujours...*

Tout en pensant, elle s'était relevé et avait contournait le mur et avait tourné à droite puis avait continuer à marcher, les yeux sur le sol, le mur ne lui avait pas suffit. Et là elle heurta quelqu'un, c'était sur car Adadji tomba sur un pensionnaire. Elle se releva brutalement:

"Non mais ca va pas!?"

Elle savait trés bien qu'elle était en tords mais elle ne voulait pas se l'avouer! De toute façon pour la jeune femme tout était de sa faute mais elle ne voulait pas le montrer et accuser toujours les autres, elle ne voulait pas regarder la personne qu'elle avait bousculer:

*Allez excuse toi!
Vas y...un petit effort.*

Adadji fut à deux doight de le faire, mais non...Elle ne dit rien...Comme d'habitude, et reprenant son chemin mais elle fut arrêter par le/la pensionnaire...

(Hj : Voila à qui veux venir! Mais s'il vous plait je demande pas un post comme ça mais un beau petit rp s'il vous plait!
Merci ^^)

Motoko avait suivi la jeune femme du regard et l'avait rejoin elle ne pouvait pas restez comme sa la pauvre blesser de toute part, elle ne lui demanda pas si elle avait besoin d'aide, elle l'arête dans son élan et lui dit d'un coup comme si sa allais de soit ....

venez avec moi ... vous pouvez pas rester comme sa

elle la mena avec elle et la fit s'asseoir sur un banc, même motoko ne passait pas son temps a se belsser comme sa la jeune femme était en très mauvais été elle se demandais bien ce qui avait pu coser des dégat pareil sur quelqu'un la pauvre devait avoir très mal et de plus elle semblais épuiser...

je sait pas ce qui vous a mit dans cet état mais je crois que l'on dvrais aller ailleur ce sera plus discret vous voulez bien me suivre ? on va aller dans la cuisine peu de gens traine la a cette heure ils sont tous dehor .. a part su mais elle n'est pas méchante ....

elle releva la jeunne femme et la traina de force si il le fallais vers la cuisine qui n'était pas bien loin, la ou se trouvait la trousse de premier soin elle jeta un regard derrière elle avant de pousser la jeune femme devant elle vers la sale ou elles allais aller.

dite moi ... vous voulez être pentionaire non ? je vous emènerai voir Keitaro plus tard pour que vous lui demandier un numéro de chambre comme sa vous pourez aller dormir un peu .... au pire je vous passerai ma chanmbre pour la journé mais il vous sera interdi de toucher a quoi que ce soit ....

[tu a le choix tu me résiste ou tu vien ^^ et poste une fois ici puis je ferez le sujet a la cuisine si tu me suit ^^ et au fait je suit pas aussi bonne que toi pou les rp alors désoler (d'habitude c'est mieu^^)]

(hj: Je suis désolée, mais je n'aime pas les sujets avec seulement deux/trois post, donc là je résiste...encore et toujours...Et si quelqu'un d'autre peut intervenir et quand vous aurez convaincue...si vous y arrivez lool Adadji, alors on postera aux cuisines ^^!
Alors je me lance)

La jeune Adadji avait sentit les regards lourd et pensant, rempli de pitié, sur elle, alors elle décida d'accélérer le pas ne sachant toujours pas où se rendre. Mais pour le moment, elle ne pensait pas à cela, elle voulait échapper aux regards de tous ces inconnus, aux moqueries et aux rires...

*Ne t'arrête pas!
Ne te retourne surtout pas!
Continu ton chemin sans t'arrêter!*

Et c'est ce qu'elle fit sauf qu'une pensionnaire se planta subitement devant elle lui bloquant le passage, ce qui forca la jeune Nimra à s'arrêter contre son grés puis l'inconnue se mit à parler, lui demandant de venir avec elle, se n'était pas vraiment une demande, c'était plutôt un ordre dit d'une voix trés douce et trés calme qui attendrie la jeune femme meutrie par la fatigue et la douleur.
Sans savoir ce qu'elle faisait, Adadji suivit la jeune fille et se laissa assoir sur un petit banc dans le hall, essayant d'éviter le regard curieux et rempli de pitié de la jeune inconnue.

*Laissez moi!
Allez Adadji! Réagis!
Ne te laisses pas faire!*

Mais elle n'arrivait pas à exploser, à repousser cette autre pensionnaire...Enfin si c'était une pensionnaire, mais vu l'âge qu'elle devait avoir cela ne faisait presque aucun doûte...

*Elle est beaucoup plus jeune que moi!
Ca j'en suis absolument certaine...*

Se dit Adadji qui essayait de ne pas regardait l'inconnue qui continuait à lui parler tout en la regardant de son air étrange, comme si la jeune Nimra était une extraterrestre, mais celle ci avait l'habitude de ce regard et ne s'en faisait plus même si elle ne supportait pas qu'on la regarde...Puis la jeune fille lui dit qu'elle ne savait pas pourquoi elle était dans cet état et si elle voulait bien la suivre, pour l'ammener dans les cuisine où personne à part une personne ne traine...

La jeune blessé ne répondit pas mais commença déja à se lever comme pour dire qu'elle n'avait rien à faire avec elle, qu'Adadji était trés bien toute seule et n'avait pas besoin d'aide.

Puis Motoko continua de parler, lui demandant si elle était pentionnaire et qu'elle l'emmenerait voir un certain "Keitaro" qui devait être le directeur ou le gérant de la pension et qu'il lui donnerait une chambre...L'inconnue devait avoir remarquer la fatigue énorme d'Adadji car elle lui proposa de lui prêter sa chambre pour la journée mais la prévient qu'il fallait qu'elle ne touche à rien.

Ce fit à ce "il vous sera interdit de toucher a quoi que ce soit", que la jeune femme réagit. Elle regarda agressivement la jeune fille dans les yeux et répliqua froidement:

"Je n'ai pas besoin de VOUS!
Je sui strés bien toute seule okay! Oui je veux être pensionnaire mais que ça soit clair je veux juste un logement, pas d'aide des autres, pas d'amis!
PERSONNE!"

Adadji marqua une courte pause avant de reprendre de même voix, même plus agressive:

"Vous comprenez ça PERSONNE!
Je rencontrerais juste ce certaint Keitaro pour la chambre rien de plus!
Pas de cuisine! Pas de Su! Pas de VOTRE chambre, ni de vos "quoi que ce soit!"

Elle fusilla Motoko d'un regard qui voulait tout dire.

*Laissez moi comprendre!
J'éspére que cette fille comprendra!*

Mais cette inconnue n'avait pas l'air d'une fille qui abandonnait facilement mais Adadji savait toujours de se débarassait de personne qui l'a collait trop. Elle se retourna, regardant une derniére fois la jeune fille, sans la remercier, sans un sourire, et reprit faiblement sa marche dans cette pension inconnue sous les regards riant et moqueurs des autres jeunes auxquels la jeune femme ne préta aucune attention.

*Tu aurais pu la remercier quand même?!
Jamais! Jamais je ne me m'excuseras...*

Elle seule savait pourquoi, car le dernier mot de son frére avait été "merci" et depuis elle ne voulait plus l'entendre ni le dire...Malgrés qu'elle ne voulait pas montrer sa douleur, sa fatigue et sa faim cela se remarquait trés bien avec ses bras fin comme des petits bouts de bois, sa peau blanche, ses bras et son visage plein de blessure, et les cernes au milieu d'un maquillage orange foncé!

*Je fais vraiment trop pitié!
Je devrais partir, maintenant, vite..*

Mais au lieu de se retourner et courire vers la sortie elle continua son chemin dans le couloir du hall pour trouver ce Keitaro.

Motoko commencais a s'énerver la femme avait beau ne pas vouloir d'aide elle ne pouvait pas rester comme sa alors elle la ratrapa son regard devenu non pas méchant ni exaspéré mais elle avait choisi ce qu'elle ferais elle l'obligerais coute que coute a la suivre qu'elle le veuille ou non elle suivrais la jeune motoko elle en avait décidé ainsi et elle avait la vonlonté de le faire... par contre l'envie la démangeais de se servir de son sabre mais dans l'état ou la femme était il ne valais mieu pas .. .même si elle serait plus coopérative assomé....

elle avanca vers la femme et la ratrapa. elle voulais une chambre ? elle en aurait une ... Motoko avertirait plus tard Keitaro pour ne pas qu'il se trompe et n'ofre la chambre a une autre pentionaire... elle la prit par le bras et l'obligeas a arêter fusillant du regard toute celle qui osait rire de la nouvelle venue, la plus part ayant peur des tecnique de motoko se turent et d'autre sortire soit dehors soit de la pièce

dit moi je veut bien croire que tu n'a pas besoin de MOI, que tu peut très bien te débrouiller seule aussi je te crois.... et si tu veut une chambre a ce point je vais t'en donner une et si tu ne veut pas que je t'aide alors je te dirai ou est Keitaro ce bêta mais a unecondition laisse moi te souigner c'est pas sain de rester comme sa sa peut s'infecter et avoir de grosse concéquence alors suit moi je suit fatiguer et moi aussi je veut aller a ma chambre si tu crois que je te veut du mal crois moi tu te met le doigt dans l'oeil alors tu me suit ou tu va continer a faire rire de toi ? et surement te perdre et tomber sur quelqu'un de moin sympatique que moi alors tu vien ou pas ?

elle la regardait droit dans les yeux la personne devant elle avait beau être plus vielle qu'elle elle était épuiser et blesser elle ne pourait pas aller bien plus loin surement que ce n'était que sa volonté qui l'avait emmener ici et qu'il y avait un grand malheur qui lui était arriver dans ces cas la on était mieu seul pour s'en remetre et c'est exactement ce qu'elle semblais vouloir ses "PERSONNE" semblais assé convaincant, mais s'obstiner souvent ne menais a rien surtout qu'elle avait l'air dêtre a moitier morte de fatigue il falais qu'elle dorme rapidement ....

Sache que je ne te fait pas la charité, que je ne t'aide pas je le fait seulement parce que personne ne le fera elles sont trop occuper a regardé le spectacle que tu leurs ofre et moi je ne suit pas d'acors avec sa, je n'ai ni pitier, je ne vous demande même pas de me dire merci... je veut simplement que vous vous reposer de toute manière vous aller vous effondré sur le sol si vous continuer ainsi !

Adadji s'était mise à marcher calmement, sentant le regard de la jeune fille qui lui avait parler précedemment...La jeune Nimra aurait tout donné pour connaitre les pensées de Motoko, mais de toute façon sans pouvoir ce n'était pas dur de deviner que la jeune inconnue pensait comme tous les autres.

*Quoi qu'elle a quelque chose de différent...*

Pensa-t-elle en reagardant la fille assise sur le petit banc, une derniére fois, puis Adadji se remit à marcher vite. Trés vite. Courant, presque, elle avait entendu des bruit de pas derriére elle et n'avait pas voulut se retourner.

*Quelqu'un me suit...*

Se dit Adadji, persuadée qu'on la suivait...Pui sles pas se faisait de plus en plus proche, la jeune femme s'appréta à courir quand une main sur son bras l'arrêta subitement et la fit se retourner. Quand elle reconnut la jeune inconnue la nouvelle pensionnaire soupira.

*Manquait plus qu'elle!
Une fille pas facile à s'en défaire!*

Ce dit Adadji qui suivait le regard de Motoko qui fusillait tout ceux et celles qui riaient de la jeune Nimra, et au grand étonnement de celle ci, les pensionnaires partirent de la piéce ou se turent.

*Voila ce qu'elle a de spécial...
Elle fait peur..Comme moi quand je m'enerve*

Pensa-t-elle en riant mentalement. Puis elle fut obligée d'écoutait la jeune Aoyama qui ce mit à la tutoyer franchement en plus expliquant qu'elle savait trés bien qu'Adadji pourrait se débrouiller toute seule et que si elle voulait une chambre à tout pris, elle en aurait une et que si elle ne voulait pas d'aide la jeune fille le dirait à ce certain Keitaro de lui donner une chambre. Evidemment il y avait une condition.

*Obliger...*

Ce dit Adadji qui ne demandait qu'une chose : qu'on lui foute la paix! C'était simple non?

*Simple. Oui. Trés!
Mais personne ne comprend!*

Ce dit elle en regardant méchamment la jeune Motoko qui continuer son discourt en expliquant que la condition était de la soigner car ses blessures allaient s'infecter et cela pourrait empirer. Et l'inconnue soutenait le lourd regard d'Adadji qui ne se laissait pas faire, comme toujours...

*Je veux un lit...
Juste un lit...Rien d'autre*

Elle arriva enfin à ouvrir la bouche pour dire d'un ton bien ferme et méchant:

"Je veux un lit!
Rien d'autre! Ni qu'on me soigne!
Ni qu'on me nourrise! TU vas comprendre, maintenant!
Et s'il le faut je dormirais par terre! J'ai l'habitude, okay!?"

Elle avait prononcer la derniére phrase, presque en criant. Et elle se mit à dévisager la jeune inconnue de haut en bas et c'est la qu'elle remarqua une arme accrocher à la ceinture de l'adolescente ( hj : si je me trompe dis moi et j'éditerais).

*Que fait-elle avec une arme dans l'établissement...
Dis donc je sui stombé dans un asile de fou moi!*

Adadji n'avait pas peur du tout de cette fille avec son arme et puis de toute façon Motoko pourrait trés bien s'en servir sur la jeune Nimra pourrait enfin reposer en paix!

"Je n'ai plus rien à faire dans ce monde pourri!"

S'était-elle écriait à voix haute...Et elle s'en rendit compte que quelque minute aprés et elle rajouta:

"FOUTEZ MOI TOUS LA PAIX!!!
TOUS"

Et elle alla s'assoir sur le banc où elle s'était assise avant avec motoko...Elle s'allongea et mit son petit sac en guise d'oreiller et pensa:

*J'ai décidé!
Je passerais ma nuit là!
Car je ne veux en aucun cas être soigner pour avoir une chambre.*

Elle fusilla du regard une derniére fois l'adolescente en lui criant:

"Maintenant va-t-en!"

Adadji dit cela si fermement, si froidement, avec un regard si pénétrant que ce fut les derniers pensoinnaire dans le Hall qui partir se coucher.

*Bon débarras!
Maintenant bonne nuit!*

Ce dit Adadji sans autant retirer son regard de celui de la jeune inconnue qui avait voulut l'aider sans l'aider...

Elle avait laisser la jeune femme dire ce qu'elle voulais qu'elle tempête, qu'elle soit mauvaise qu'elle tente même de la frapper si elle en avait envie, elle n'avait pas peur d'elle, elle ne plirais pas et finirait part lui faire rentré le bon sens dans la tête de cette foutu entêter qu'elle le veuille ou non elle la laisserait la soigner .... et puis pour qui se prenait elle pour exploser en plein hall elle aurait pu la suivre et tempêter ailleur la elle avait fait peur au autre et tout le monde la traiterais de toquer ou encore de folle. A part Motoko, elle avait comprit que la femme était éprouver mais La jeune Aoyama était elle aussi très têtue.....

e toute les récrimination de la femme elle opossa un silence qui semblais vouloir tout dire, du "tu a raison sur un point mais c'est stupide de s'entêter" au " tu sait tu te trompe dans ce cas la et moi j'ai raison tu sait je n'abandonerai pas toi tu finira par te laisser aire tu est plus fatiguer que moi" jusqu'au "tu est plus vielle peut être mais je te laisserai pas rester comme sa!" alors que la femme lui disait qu'on lui foute la paix alors qu'il ne restais plus que motoko elle lui imposa un mot, ferme, décider et par dessu tout infranchissable et indémolissable

-Non

elle n'avait pas lacher des yeux la pauvre femme qui avait fini par se coucher sur le banc elle ne devais pas le trouver trop confortable mais Motoko avait une idée en tête et ne lacherais pas elle croisa les bras et défit son sabre la placant a coté d'un autre banc voisin de celui ou la femme était étendu elle soupira et vint se palcer directement devant la femme et se présentat d'un coup comme si de rien était. elle savait que la dame avait vu son sabre et alais lui expliquer pourquoi elle le portait.

-Mon nom est Motoko Aoyama, je suit pentionaire ici ainsi que la plus part des gens que vous avez fait fuir, si je porte un sabre c'est simplement parce que je sait m'en servir et qu'un jour j'airai un dojo de Kendo mais je ne m'en sert jamais contre les autre ... a part keitaro mais lui c'est assé normal ....

-alors maintenantr que vous êtes la coucher a votre aise vous pouriez au moin décliner votre identité au lieu de crier encore et encore a tue tête que vous ne voulez voir personne que vous ne voulez pas d'aide et que vous vouler juste un lit je veut juste enrayer une ifection possible qui pourait vous donner la grippe puis vous pouriez la donner a une autre pentionaire et ainsi de suite on aurait alors une épidémi c'est ce que vous voulez ?

-sinon vous feriez mieu de franchir cette porte a contre sens et de chercher un autre endroit ou loger ou vous retournerai ou vous étiez avant quoi que je sent que cela ne vous plaira pas alors a vous de voir j'attent et je vous prévien je suit extrèmement patiente quite a atendre que vous dormier pour vous soigner la balle est dans votre camps

Adadji ne supportait pas ce regard sur elle. Ce regard aussi hautain, aussi dur que le sien. Elle n'avait pas l'habitude qu'on la regarde comme ça, enfin si plutôt mais pas un regard aussi dur. Elle était plutôt habituée aux regards fiér, méchant, plein de mépris et cela ne lui faisait rien bien au contraire; cela l'amusé! Mais elle n'était jamais tombée sur une personne aussi tétue que celle qui se trouvait toujours dans le même couleur que la jeune Nimra. Quand Motoko imposa ce mot aussi dur et ferme que "va-t-en" ce mot qui était simplement "non", Adadji se redressa sur son banc:

*Elle va me lacher celle là!
Ca commence à bien faire, sérieusement!*

Mais Adadji observait toujours l'étrange adolesente qui défit son sabre, le posa sur un autre banc et se planta devant Adadji. Maintenant les deux jeunes filles se regardaient durement mais ne lachaient pas le regard de l'autre. Puis la jeune Aoyama se présentait subitement. Elle dit à Adadji son prénom, son nom, ce qu'elle était, pourquoi elle avait un sabre etc...

*Comme si ta vie m'interessait , ma vieille!*

Ce dit elle en souriant intérieurement, puis quand elle lui dit qu'elle devrait se présenter au lieu de crier dans tout le hall, Adadji serra les poings:

*Comme si ma vie te regardait aussi!*

Elle se décida à dire à voix haute, plus doucement que d'habitude:

"Ma chére Motoko;
Si je veux crier , je cris, si je veux attraper la grippe, je l'attrape, si je veux être infecter, je le serais. Si je ne veux pas que l'on me touche, on ne me touchera pas!
Est ce clair?
Personne ne m'a jamais touché, ni soigné, ni aidé, et je ne compte pas que ce soit aujourd'hui!
Encore moins avec une adolescente qui a un sabre, okay?!"

Elle marqua un pause car l'autre avait reprit toujours avec son même refrain quand elle lacha qu'elle ferait mieux de sortir de la pension, Adadji rassembla ses affaires et se leva, forcant la jeune Aoyama à reculer un peu. La jeune femme mit son petit sac sur le dos et dit à la pensionnaire:

"Tu as bien raison!
Je vais rebrousser chemin!
Je dormirais dans la rue! Je savais que ça se finirait comme ça! Je préfére encore dormir dans la rue, seule, et de mourir peut être de froid, trempée, et de faim que de rester avec toi!!"

Evidemment elle ne pensait pas du tout ce qu'elle disait...Mais son passé l'avait totalement transformée...Adadji pensait:

*Quand je pense qu'avant, j'étais si gentille..
Si douce...Je ne me disputais avec personne...Si seulement mon Tokomo était encore là....
Tu me manque tellement ptit frére...Je veux te prendre dans mes bras...*

Elle regarda une derniére fois Motoko, les yeux humides, et prit la direction de la porte..Mais entendre la pluie tapait sur les fenêtres, le silence de mort des rues, sentir la fatigue et la douleur l'envahir...Adadji ne marchait plus trop droit...Elle avait presque atteint la porte qu'elle tombait, raide, inconsciente.

(Hj: désolé pour le retard!
Et j'avoue ce post est vraiment pas terrible mais bon...
Et au fait! Adadji n'est PAS morte lool! Désolé encore. pour le retard et pour ce post là!)

T FIF DUCON!!!!!RETOURNE EN FRANCE PÉTASSE!